Le Trou 19 Du Phare EDP
Le Trou 19 Du Phare EDP
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« Le Trou 19 du Phare » s'ouvre sur l'audace du poivre noir et un mélange aromatique, laissant place à un cœur de cuir noir et de cannelle. Le parfum s'intensifie avec un fond de vétiver d'Haïti, de patchouli et de bois de cèdre, créant une fragrance intrigante, épicée et boisée.
« Le Trou 19 du Phare » est un hommage à l'amitié, à la tradition et à l'esprit intemporel de Biarritz.
Biarritz était l'une des destinations incontournables d'Albert Fouquet. Après son séjour à Honfleur, dans la résidence de Christian, où ils passaient leurs journées entre la plage des Planches et l'hippodrome de La Touques à Deauville, les deux amis se rendaient à Biarritz. Là, ils étaient rejoints par Simon, venu de Bourgogne, et Thomas, venu du nord de l'Espagne. Tous deux étaient des hommes de terre à qui Fouquet avait confié la gestion des vignobles les plus convoités de Bourgogne.
Le but de cette réunion était d'entendre le rapport détaillé de Simon sur l'évolution de l'année au domaine et de coordonner les préparatifs pour les vendanges de septembre.
Une fois les questions professionnelles réglées au cours de l'après-midi dans une salle de réunion de l'Hôtel du Palais, où ils séjournaient, les quatre hommes ont pu profiter de la profonde amitié qu'ils avaient nouée au fil des ans.
Le lendemain matin, à neuf heures pile, ils se sont retrouvés au club-house du golf Le Phare, prêts à montrer leur esprit de compétition pour remporter le titre annuel : Christian et Thomas contre Simon et Albert.
Autour de cette compétition, ils ont créé une série de rituels appelés « Le 19e trou ». Tout commençait par un dîner offert par l'équipe perdante, suivi de la remise solennelle du trophée. Selon la tradition, les perdants devaient ensuite plonger tout habillés dans la mer et, trempés, surprendre les clients et le personnel de l'Hôtel du Palais en leur demandant les clés de leur chambre.
Lors d'une des premières réunions du « 19e trou », Thomas offrit à Fouquet un bouquet de géraniums soigneusement cultivés dans sa maison de campagne. Connaissant l'expertise de Fouquet dans la création de parfums exclusifs, il suggéra à Albert d'emporter le précieux bouquet à Paris afin de créer un parfum unique, magique et inimitable.
Lors de l'édition suivante, Albert surprit ses trois amis en leur offrant à chacun son chef-d'œuvre, « Le trou 19 du Phare ».
Notes : Poivre noir, cuir noir, cannelle. Vétiver haïtien, patchouli, bois de cèdre.