Ce Cri qui s’élève, c’est celui d’une renaissance. La limpidité cristalline de l’ambrette, musc végétal aux facettes d’eau de vie, irradie un iris aux lueurs diaprées de rose. Ombre portée par ces notes rayonnantes.

Avec Le Cri, Marc-Antoine Corticchiato poursuit sa conquête du monde des odeurs. Par-delà le sentir bon, la quête de la lumière. D’un éclat.

Trois voix limpides et pures se répondent dans cet appel au jour nouveau. L’ambrette fait résonner une note cristalline d’eau de vie. Un iris florentin mêle la légèreté diaphane de la poudre au timbre flamboyant de l’essence de rose turque. Le Cri se fond enfin dans l’harmonie d’un chant radieux. A la fois nimbe lumineuse et essor exaltant vers le point du jour.

Dans cette nouvelle composition, la richesse des matières rend au luxe son sens originel, du latin lux, lumière. Cela s’appelle l’aurore…